Questioning Justice
Questioning Justice
2016/17
“Het kon niet anders dan vrijspraak worden” : toelichting #justitiewatcher bij Bart Schols De Afspraak (link hier).
“Burgerrechters hebben fouten van beroepsrechters op een lijstje gegeven” (VRT De Redactie - link hier)
‘Bernard Wesphael vrijgesproken’: toelichting #justitiewatcher Focus WTV (link hier)
Het is een boeiend, vrij ordentelijk proces geworden’ (interview Radio 1)
Le jury a décidé.
Bernard Wesphael accusé, Bernard vilipendé, Wesphael acquitté.
Une enquête discutable n’a pas empêché un procès équitable. Pour la justice, c’est peut-être la meilleure nouvelle.
Deux familles pourront enfin commencer vraiment leur deuil. Véronique Pirotton restera dans la mémoire comme une victime et elle l’est à juste titre car sa mort reste un drame.
Mais dans n’importe quelle issue du procès, Bernard Wesphael lui aussi, resterait victime de ce même drame. Il pourra enfin vivre le deuil que l’emprisonnement, l’enquête et le procès non pas rendu possible.
Finalement, ce deuil sera à terme plus important que le procès.
Ayons la décence de le respecter, ce deuil et donner une chance à la reconstruction d’une vie.
Ayons le courage d’accepter la vérité juridique comme la vérité.
Ayons la modestie qu’une certaine presse vindicative n’avait pas, celle qui avec acharnement a tout fait pour faire le procès avant le procès, celle qui avait déjà annoncé son propre jugement comme - verbatim - ‘sans appel’.
Tous les mots que je pourrais écrire en ce moment restent mot pour mot les mots que j’ai confiés fin 2015 au postface du livre ‘Assassin - Moordenaar’.
Ce sont des mots sereins auxquels pas un iota a été ajouté. Vous jugerez si ces mots sont justes. Je l’espère.
Mons: fumée blanche au-dessus du palais de justice le 6 octobre 2016
et l’arc-en-ciel, la veille.
westphael vrij - acquitté
6 oktober 2016
Bernard Wesphael accusé, Bernard Wesphael vilipendé, Bernard Wesphael acquitté.
Le livre de Bernard Wesphael sur son histoire, paru après son
procès à Mons.
Préface de Jean Thiel.
Postface de Jan Nolf.